Pourquoi choisir l’enrubannage ?

L'hERBE ENRUBANNÉE: UN ALIMENT RICHE ET NUTRITIF

L’enrubannage est une méthode de conservation de l’herbe en balles ou bottes plastifiées. Il s’agit de ramasser de l’herbe encore humide puis de la conserver afin de la distribuer à son troupeau durant l'hiver, en cas de sécheresse estivale ou en complément au foin par exemple. Généralement réalisé entre les mois d'avril et de mai, l'enrubannage est complètement tributaire de la météo des mois précédents et du climat actuel. Comme indiqué, l'herbe ramassée et conservée par méthode d'enrubannage est encore humide. Cette technique permet d'obtenir un aliment riche et équilibré, notamment en protéines. L'enrubannage permet de maximiser les apports énergétiques et nutritionnels des rations du troupeau. 

Un GAIN DE PLACE CONSIDÉRABLE

Outre son intérêt nutritif non négligeable, l’enrubannage présente également un avantage en termes de stockage. En effet, il est extrêmement facile de stocker l’herbe enrubannée, dans la mesure où les balles et bottes peuvent se stocker en extérieur, à proximité des champs ou même des bâtiments. Le film plastique permet de protéger la matière première des intempéries et de conserver ses qualités nutritionnelles. Par ailleurs, la conservation de l’herbe enrubannée est maximisée par le fait de distribuer « à la demande », selon les besoins de chaque animal. On peut ainsi distribuer le nombre de bottes ou de balles que l’on souhaite, au moment choisi.

INVESTISSEZ SANS VOUS RUINER

Si la facilité de stockage, de conservation et les qualités de l’aliment sont des avantages clés, il faut également considérer le fait que cette méthode peut être un peu plus coûteuse que l’ensilage classique (du fait de la plastification) et qu’elle implique d’y consacrer du temps au moment opportun. Il s’agit de faucher, récolter au plus vite avant que l’herbe ne sèche puis procéder au filmage des bottes ou des balles.

L’enrubannage devient une méthode plébiscitée par les agriculteurs, notamment par les petites exploitations familiales. Moins contraignante que l’ensilage, la méthode de l’enrubannage évite aussi des gros investissements matériels. En effet, seuls une faucheuse, une botteleuse et du matériel de plastification (disponible à la location également) sont nécessaires, ce qui permet à chaque agriculteur de posséder son propre matériel.

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Changement des roues de votre tracteur: et si vous vous facilitiez la vie ?

Les semis de printemps approchent, c’est à nouveau le moment pour les agriculteurs de changer les roues de leurs tracteurs !

Action pénible, quasi obligatoire pour les céréaliers, le changement de roue est souvent occulté alors que l’action est en réalité particulièrement  éreintante. Beiser Environnement propose un kit dédié au changement de roue comprenant une clé à choc pneumatique, un chariot de transport pour roue agricole ainsi qu’un cric hydropneumatique. Ces différents outils permettent, quand ils sont combinés, de réduire considérablement les actions de l’agriculteur. Cette facilité de montage et de démontage des roues permet de protéger vos articulations et de ne pas leur infliger des chocs trop importants.

Par ailleurs, le kit de changement de roue fait partie des produits éligibles à des aides de caisses agricoles. Ces aides permettent d’investir sereinement dans un matériel visant à réduire le risque d’accident agricole.

 

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La contention des bovins

Aujourd’hui, il devient de plus en plus difficile de maîtriser ses bovins au moment des soins, du parage ou de la tonte. En effet, du fait de l’augmentation croissante de la taille des exploitations, les troupeaux perdent l’habitude d’être manipulés. D’autre part, les éleveurs sont désormais amenés à travailler régulièrement voire quotidiennement seuls, ce qui complique la contention en elle-même mais également leur travail de manipulation : leurs besoins d’automatisation de certaines tâches sont de plus en plus pressants et nécessaires.

 Les jeunes bovins de moins d’un an sont particulièrement sensibles et stressés au moment de la contention, ces derniers n’ayant quasiment jamais été pris depuis leur naissance. On constate qu’il est plus facile de manipuler des vaches laitières, le secteur allaitant regroupant des animaux plus imposants et moins habitués à la manipulation (pas de salle de traite et moins de soins de parage). Néanmoins, personne n’est à l’abri de mouvement brusque d’un bovin, pour qui la manipulation n’est pas toujours une situation sereine.

En effet, de nombreux accidents sont malheureusement à déplorer chaque année, principalement liés à l’absence de contention au moment de la manipulation des bovins. Les situations de stress pour l’animal se révèlent d’autant plus dangereuses pour leurs éleveurs, qui comptaient pour 46% des accidents du travail agricoles en 2011[1].  L’ensemble des caisses d’aides agricoles recommandent d’ailleurs vivement de s’équiper en matériel de contention et proposent à ce jour des subventions à cet effet. Les subventions dépendent actuellement des régions ou des départements et peuvent couvrir  jusqu’à 40% des dépenses en matériel.

S’il permet inévitablement de travailler en sécurité, le matériel de contention (notamment celui proposé par Beiser Environnement) dispose d’un double avantage, puisqu’il permet également de peser les bovins de manière précise. Le système de pesée intégré aux couloirs et cages de contention Beiser est un gage de sécurité tarifaire lors de la vente du bovin, mais il permet également d’administrer les doses exactes de médicaments et de faire ainsi des économies considérables en évitant le gaspillage. Les couloirs et cages permettent ainsi une contention en toute sécurité ainsi qu’un travail rapide et efficace. Par exemple, il est tout à fait possible d’appliquer un traitement de déparasitage sur le dos du bovin tout en lui administrant des médicaments par voie orale et d’effectuer un parage de ses sabots.

Couloir ou cage de contention, comment choisir ?

Le choix du matériel dépend principalement de deux critères : l’équipement initial de l’éleveur en matériel de contention et la disposition de ses terres d’élevage.

LE COULOIR DE CONTENTION

Le couloir trouve son utilisé dans les exploitations qui n’ont pas encore d’éléments de contention mis en place. Il permet de « stocker » plusieurs bêtes, tout en effectuant des soins sur la première. Sa mise en place et son utilisation sont facilitées grâce au système hydraulique. Aussi, il est possible de déplacer le couloir de contention, ce qui s’avère particulièrement pratique lorsque ses troupeaux sont dispersés dans plusieurs champs. Le couloir de contention dispose de plusieurs sas qui permettent de retenir les bêtes en attente de soins, de les peser une par une et enfin de les soigner/manipuler. Ces différents espaces clos sont le gage d’un travail rapide et en sécurité.

LA CAGE DE CONTENTION

L’achat d’une cage de contention est à privilégier pour les éleveurs qui disposent déjà de couloirs de contention en bâtiment : elle sera alors mise en bout du système de contention. C’est une option moins coûteuse, à choisir si on effectue peu de déplacements. Son principe est similaire à celui du couloir, si ce n’est qu’elle n’intègre pas d’option de « stockage » des animaux en attente.

Dans un souci d’innovation, Beiser Environnement a mis en place un système pneumatique qui permet de faciliter le travail des éleveurs seuls. L’ensemble du processus de contention est alors géré via une télécommande, ce qui facilite le fonctionnement du matériel. 

[1] Source : Service des statistiques de la MSA / Etude consultable en ligne

 

LES SOLUTIONS BEISER ENVIRONNEMENT

 

Stocker l’azote liquide

Moins cher à l’achat et plus précis lors de l’épandage, l’azote liquide a des avantages non négligeables que son alternative solide ne possède pas. Immédiatement assimilé par les feuilles, cet engrais liquide permet de relancer la croissance des plants en sortie d’hiver. Il est également plus intéressant d’acheter l’azote liquide aux périodes « creuses » de l’année, afin de bénéficier de tarifs moins élevés.

En optant pour l’épandage d’azote liquide, il est nécessaire de considérer quatre options pour son conditionnement :

Le stockage en citerne à double paroi en acier :

Conseillées par l’ensemble des experts stockage, les citernes à double paroi disposent d’un revêtement intérieur supplémentaire, spécialement conçu pour résister à l’agression de l’azote. Les cuves à double paroi présentent un intérêt contre les fuites, puisqu’elles ne disposent pas de sorties en partie basse, interdites sur les citernes à double paroi en France, puisqu’elles sont la principale cause de fuite sur les versions à simple paroi. D’autre part, les citernes à double paroi sont les moins contraignantes, puisqu’elles peuvent être installées sans bac de rétention et sans contrainte législative. Fiables, les stations à double paroi en acier sont en réalité un investissement durable, du fait de leur robustesse. Cette longévité est un excellent gage de tranquillité pour l’agriculteur, qui pourra  se fier à son matériel durant toute sa carrière. Aussi, les cuves à azote liquide conservent leur valeur financière durant de nombreuses années. Jérôme Guerber, agriculteur à Mulcey (57), confirme d’ailleurs que l’achat d’une cuve à azote liquide « a permis une mise aux normes et une mise en sécurité, du fait de la double paroi », de son exploitation. En somme, les citernes à double paroi permettent un stockage de l’azote liquide dans le respect des normes en vigueur et sans aucune contrainte.

Le stockage en citerne à simple paroi en acier :

Version acier la moins coûteuse, la citerne à simple paroi (avec revêtement intérieur également) nécessite cependant d’être agrémentée d’un bac de rétention étanche, construit par un maçon qualifié. L’entreprise de construction du bac devra obligatoirement délivrer un certificat d’étanchéité, nécessaire lors de tout contrôle. Il est possible de faire réaliser deux types de sortie sur la cuve : soit en sortie basse, soit via un kit vidange en inox installé au-dessus de la citerne et permettant une longueur aspiration jusqu’à un mètre du sol. La seconde option est plutôt conseillée, celle-ci ayant une action de limitation des fuites.

Les citernes en polyester :

Les stations en polyester s’adaptent particulièrement bien dans des espaces restreints, puisqu’elles s’installent à la verticale. En revanche, comme la version en acier à simple paroi, les citernes à azote liquide en polyester nécessitent la construction d’un bac de rétention conséquent, soumis à des normes similaires à celles évoquées précédemment. En revanche, il est néanmoins exigé que la dalle en béton soit encore plus robuste et épaisse, puisqu’un fort poids sera réparti sur les 3 mètres de diamètre de la citerne. Les citernes construites horizontalement bénéficient a contrario d’une répartition des charges plus harmonieuse, sur toute leur longueur: c’est pourquoi la dalle en béton peut-être moins épaisse. Les citernes Beiser Environnement bénéficient d’un avantage particulier supplémentaire, puisqu’elles disposent d’une pente en fibre de 2% intégrée : ce système permet la vidange complète de la cuve. Cette pente évite par conséquent la construction d’une dalle en béton inclinée.

Les citernes souples :

Il est possible d’acquérir une version souple pour stocker son azote liquide, moins coûteuse que les autres alternatives évoquées plus haut. Néanmoins, cette option est beaucoup plus « fragile » que celles en acier ou polyester et nécessite par conséquent une protection non négligeable. En effet, il est conseillé d’abriter sa citerne souple, idéalement sous couvert. Un système de rétention similaire aux citernes à simple paroi ou en polyester est également imposé. Par ailleurs, il est fortement conseillé de protéger sa citerne contre le vandalisme, sa matière étant particulièrement sensible aux chocs.

Comment choisir votre citerne à azote liquide ?

La plupart des agriculteurs achètent leur azote liquide par camion, par chargement de 23000 à 24000 litres en moyenne. Ainsi, l’achat d’une cuve de minimum 30000 litres est privilégié afin de prévoir une marge lors des réapprovisionnements. La capacité de votre cuve dépendra inévitablement de votre consommation et de votre surface à épandre. A noter qu’un projet de stockage de plus de 100 000 litres d’azote liquide requiert une autorisation préfectorale.

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